Sur Maman Travaille, j'ai déjà eu l'occasion de dire toute l'admiration que j'ai pour Nora Esnault.

Fondatrice du Prix de l'Entrepreneuse, elle a créé, organisé et porté en 2009 le premier prix du genre. Depuis, elle a fait des petits puisque de nombreuses organisations se sont inspirées de ces récompenses afin de monter leurs propres prix liés à l'entreprenariat féminin.

En 2010, elle remet ça ! Non contente d'être salariée, mais également de suivre une formation, mais aussi d'avoir deux enfants en bas âge, elle organise de nouveau de concours suivi d'un grand événement de remise des prix.

Avec l'aide de l'agence Le Partenariat et sous le marrainage de Sandra Le Grand, Nora Esnault invite toutes les entrepreneuses de France à participer à ce Prix pour pouvoir remporter de nombreux lots et faire connaître leur activité.

L'histoire:

Marie a une adolescence difficile. Entourée par une soeur un peu transparente et des parents dignes de J'aime ma famille (sa mère part vivre à l'étranger et son père est aussi fauché qu'alcoolique) elle vit dans une sorte de maison médicale de banlieue, non chauffée, où elle se nourrit de riz et de bouillon à rien.

Elle tente de fuir par l'esprit, sort, s'habille court, voit des garçons, essaye des drogues. Elle subit plusieurs agressions, des viols aussi qu'elle n'ose pas appeler ainsi ("c'était le copain d'un copain (...) je n'avais qu'à pas monter chez lui").

Comme toutes les adolescentes dans une situation affective et matérielle difficile, elle cherche un eéchappatoire. Elle le trouvera, un jour, presque par hasard, dans la religion. On lui parle de l'Islam. Rapidement, elle est séduite par la philosophie dont on llui dit du bien et veut se convertir. d'emblée

Elle n'a aucun mal à le faire en allant démarcher des "barbus", dans la foulée, l'homme qui l'a incitée à se convertir lui trouve un mari, Karim. Elle l'a vu trois fois mais qu'importe, il a rêvé qu'il l'épouserait et puis la communauté y est favorable. Comme le veut la coutume, elle change de prénom et devient Nejma. 

 Un article gentiment écrit par Nathinphoenix pour Maman Travaille

Lorsque j’ai lu l’article de Marlène, sur le site de Maman Travaille, j’ai été reportée quelques années en arrière.

Consultante pour la CGPME, j’avais été frappée de voir combien les hommes chefs d’entreprise n’avaient que peu de problèmes de couple, alors que les femmes chefs d’entreprise, étaient sans arrêt tiraillées entre leur boite à faire fonctionner et leur famille, et plus particulièrement leur couple.

Je fus intriguée (On est psy ou on ne l’est pas ) : mine de rien je menais l’enquête ;