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Comment votre prénom déterminerait votre carrière (et celle de vos enfants)

Brooke

On le sait déjà, porter un prénom à consonance étrangère peut être préjudiciable au travail, dans certains milieux. Ainsi Aziza, 34 ans, a-t-elle choisi de se rebaptiser Léa. "Ca passe mieux, on rappelle plus Léa qu'Aziza" souligne-t-elle, à l'instar du personnage campé par Kad Merad dans L'Italien.

Plus étonnant, un prénom anglo-saxon serait aussi une source de discriminations: c'est ce qu'a révélé Aujourd'hui en France cet été en consacrant une enquête aux Cindy, Brian ou Kevin exclus de l'emploi. "Un prénom américain", expliquait l'article, "est assimilé à la culture télévisuelle, aux jeux, à des gens de classe sociale basse et peu érudits". Un employeur favoriserait donc consciemment ou pas Louise par rapport à Jennifer. 

 

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Une eurodéputée italienne travaille avec son bébé en écharpe

Eurodeputee-sauter-philippe-sipa               Eurodéputée au parlement avec son bébé en écharpe - DR Philippe Sauter - SIPA

La conciliation carrière / maternité est difficile partout dans le monde. C'est pour dénoncer la situation difficile des mères actives que Licia Ronzulli, eurodéputée italienne, est venue travailler au Parlement européen avec son petit bébé porté en écharpe.

 

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Les femmes du Nord et du Sud sont moins actives

Taux activité femmes france

C'est ce qu'indique une carte de France du taux d'activité hommes / femmes en France. Cette répartition par genre et par région permet de mieux appréhender le travail des femmes. On y remarque par exemple que le taux d'activité des femmes est plus bas dans le Nord et dans le Sud de la France - quoi que celui des hommes suit cette tendance.

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Le baby-blues de l'école maternelle

Blues école maternelle
" Comment ça se passe, la rentrée en école maternelle ? " demande une amie. Le papa répond:  " Elle a beaucoup pleuré, mais je lui ai expliqué qu'on était obligé d'y aller et que c'était mieux pour elle de faire ses activités de son côté, que l'école était sécurisée, tout ça... J'espère qu'elle a compris. Par contre ma fille, elle, elle est ravie !" Vous l'aurez compris, le papa parlait de la maman.

Le baby-blues de l'écle maternelle, kesako ?

A priori si vous êtes sur Maman Travaille, le baby blues, vous connaissez au moins de nom. Pour un millier de raisons (épisiotomie fraîche, nuits entrecoupées de réveils, perte de toute intimité de couple, chute des hormones, allaitement foireux, souci de santé du bébé, vergetures fluos...) la maman déprime après la naissance de son bébé. La raison le plus invoquée par les spécialiste est la "défusion": avant l'accouchement, maman et bébé ne formaient qu'une seule et même personne. Après, ils sont deux, le ventre de la maman est tout vide et un sentiment de solitude s'abat sur elle.

Eh, bien ! C'est un sentiment comparable qu'on éprouve pour l'entrée à l'école maternelle. D'abord, vos nuits seront entrecoupées par les cauchemars d'autrui (et là je ne parle pas forcément de l'enfant, mais du papa: réveil à 3 heures du mat en sueur, "J'ai fait un cauchemard horrible ! Un garçon était amoureux de ma fille ! Heureusement à la fin il se faisait tuer par un dragon" - sourire paisible, se rendort - la maman s'interdit de se relever pour lire en cachette "Oedipe, toi-même" de Marcel Rufo)

Même si vous avez prononcé 217 fois par jour les trois dernières années la phrase "Vivement qu'elle aille à l'école", vous n'y pouvez rien, vous êtes déprimée, triste, malheureuse. Une femme c'est pleine de contradictions comme dirait la philosophe Emilie NefNaf.

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